Les histoire courtes qu’on vit sont comme celles qu’on écrit. Comme un défi placé sur ma route aujourd’hui. Tout y est, resserré, densifié, droit au but, et une bonne chute. Tous les émois, tous les tracas, les œillades chaloupées, chaque formule soupesée, quelques touchants loupées, des entrechats hésitants, des doutes et des certitudes, surtout, surtout… des doutes… des certitudes.
La tentation de la tension des sens… Se laisser aller pour mieux se tordre et résister, se refuser obstinément et puis, brutalement, ouvrir les vannes et tout donner. Les histoires courtes, qu’on rêve, qu’on crée, qu’on imagine ou qu’on construit. Les mots l’un après l’autre placés, les histoires courtes, jolies, jolies, et la vie longue qu’on vit après.
plus l’histoire est courte, alors un concentré des-motions,
leur succession épanouit les sens, mais en épisode façon puzzle,
(qu’en sais-je, ..tant le sentiment est personnel)
(le film) into the wild, Alex le héros (?) dans sa quête de La Vérité,
admettra à-la-fin ..sniff, « le bonheur (hapiness) c’est à deux »
(entends-je Camille qql nostalgie..)
J’aimeJ’aime
Aucune nostalgie, tout à vivre, tout à écrire, au contraire ! Ce dimanche, une personne de choix, un écrivain rencontré, m’a rappelé que l’écriture des nouvelles est un travail particulier, que l’histoire courte est porteuse de grande puissance, d’une intensité particulière et que ce genre littéraire est important, un travail d’écrivain riche et difficile. Bon, ça m’a fait du bien de l’entendre, on pioche les encouragements où on peut ! 😉
J’aimeJ’aime