C’est une douce journée de printemps. Le blé tout neuf est vert encore, il ondule sous le vent. Les montagnes au loin nous toisent, indifférentes à nos querelles, à nos penchants, sourdes à nos questionnements. Je guette, perplexe, des lendemains plus cléments.
Au lendemain, je guette aussi… parce que, hein, tout ça reste bien pesant malgré tout…
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Plombant, même…
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Bon dans un cas on perd beaucoup, dans l’autre on gagne rien… mais sinon les étourneaux vont bientôt se barrer, non ?
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allons, ..
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ouais… Bien triste…
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ALLONS !
Je résume; ce qui est comme d’habitude: une longue histoire.
Tu le sais. Souvent même tu l’écris.
..la vie,
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La vie… merveilleuse et terrifiante.
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