Rhôôô, comment il se la pète, ce titre ! Bon ben j’ai honte, t’sais, mais je jubile, quand même, je profite… Je suis sûre que vous me pardonnerez.
Donc j’y étais. Au salon du livre de Pâris, Porte de Versailles, avec mon badge et ma légère anxiété. Vite oubliée. On a rigolé comme des baleines, au stand des Moires. Les photos le prouvent, on voit bien que l’ambiance était plutôt à l’éclat de rire, et il n’en manquât point, croyez bien.
Mais je ne suis pas restée assise tout le weekend, croyez pas ! Je suis allée me dégourdir les guibolles samedi après-midi du côté de la République, histoire de me mêler à l’immanquable Marche pour le Climat. On n’aurait raté ça pour rien au monde avec ma fille… Piochés pour vous dans la manif, des slogans qui nous ont bien fait rire. (je ne l’ai pas en photo mais on a évidemment croisé le désormais incontournable « Rends l’argent ! » qu’on voit dans toutes les manif !)
Sélection :
Camille Lysière 
J’aimerais vivre ça au moins une fois dans ma vie !
Avant que la mer monte… 😉
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
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Et que les bretons débarquent à Paris ! 😀
Oui, c’est une belle expérience, même si, en toute franchise, les salons provinciaux sont généralement plus agréables, avec de vrais lecteurs qui cherchent réellement une rencontre, un coup de cœur littéraire, et pas à caser leur manuscrit… Cela dit, on s’est vraiment régalés, avec les autres auteurs Moires, et être à Paris est toujours un très grand plaisir pour moi…
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bon, tu as rigolé avec tes camarades de stand et marché avec ta fille, et c’est très bien ; rien que pour ça, remercions la grande région amie des arts et des lettres. Et tu as signé des livres, rencontré des lecteurices, des auteurices d’autres strand (heu, maison d’éditions) ? raconte nous à nous les gens de peu qui nous tenons toujours dans l’allée comment ça fait d’être de l’autre côté de la table, avec la carte pro qui fait coupe file et donne accès au grand buffet open-bar de Gallimard !
🙂
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Ben… ça fait qu’il faut alpaguer le chaland, vendre sa littérature à une heure où tu voudrais être en train de l’écrire tranquille peinard dans ton bureau, vendre celle des copains si tu vois que la couverture rose ne convainc pas celui qui a daigné s’approcher, et sourire, sourire, sourire, beaucoup, et espérer faire assez de ventes pour que l’éditrice rentre dans ses frais. Voilà. C’est comme Avignon mais pour les bouquins… 😉
Non, en vrai, j’ai adoré, même si la vente, c’est décidément pas mon kiffe !
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ça pétille ! quel beau w-end !
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Ah oui alors !
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