Certains d’entre vous, abonnés du blog ou contacts facebook, amis IRL ou OOL (On Oueb Life), me demandent ces temps-ci de manière récurrente la date de la sortie de mon prochain livre. En gros, la phrase la plus fréquente est : « Bon, alors, kestufou, depuis l’temps, ça sort ou bien ? »
Bon. Je m’en vais donc vous donner une réponse collégiale de ce pas, histoire d’être efficace.
La sortie de mon roman était annoncée au départ pour septembre, mais les aléas, les contretemps, les impératifs, les imprévisibles, les petites et grandes torsions de l’emploi du temps de mon éditrice ont fait que la publication est reportée au mois de novembre. Tout vient à point à qui sait attendre, dit-on. On avait visé plus ou moins le tourbillon de la rentrée littéraire, finalement il devrait sortir tout chaud du four pour être offert à la Noël. Quoi un message subliminal ? Boh, ç’pas mon genre…
Donc, en ce moment même, Virginie Paultes mon éditrice est en train de bosser sur la maquette (donc les copains auteurs des Moires, vous serez bien mignons de ne pas l’enquiquiner, je la veux pour moâ), et je réfléchis sérieusement à la vidéo de sortie du livre (Dounya, tiens-toi sur le pont, on va bientôt se le faire).
Et j’ai hâte.
Et je tremble.
Et je jubile.
Et je trépigne.
Et …
Le silence de la cigale, premier roman de Camille Lysière, annoncé pour novembre 2019 aux éditions Moires.
Enfin…
Bonjour, veuillez recevoir mes plus sincères félicitations pour votre livre. Vraiment, je suis ravie pour vous ! Bien cordialement.
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Merci, Virginie, la SAPC, en récompensant mon premier livre, a eu un rôle déterminant que je n’oublie pas… Cordialement,
Camille
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(rien à voir ?) je viens de lire, une addiction, cette histoire ni fiction,
inévitablement penser à toi, et tes nombreux confrères, consœurs,
..chacun sa sensibilité n’est-ce pas (ni ne juge les vocations)
« Lundi 23 septembre au petit matin, la gardienne de l’école Méhul a découvert le corps de Christine Renon dans le hall de l’établissement. Deux jours plus tôt, juste avant de se donner la mort, la directrice de 58 ans décrite comme « hyper investie » avait pris soin d’adresser à une trentaine de ses collègues une lettre de trois pages où elle détaillait « son épuisement », la solitude des directeurs, l’accumulation de tâches « chronophages », les réformes incessantes et contradictoires. »
Joyeux courage et tous mes vœux,
(le hasard est la somme d’incompétences)
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Hé ben ; je croyais que tu enquiquinais les mômes, comme Zazie.
Et voilà que tu fais des livres, comme Queneau.
c’est fou !
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En ce moment, j’enquiquine plus que j’écris, mais effectivement : fou ! 😉
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