On l’entend, on le sent qui gronde, là, juste derrière la dune, juste là d’où vient le vent. Son terrible boucan, ses embruns salés qui dessèchent et rongent, tout, tout le temps. Derrière la dune, juste là, tout près, je ressens déjà sa magnifique violence, frappant inlassablement le sable de son ressac têtu qui se fout de nos bavardages, de nos petitesses et de nos prétentions.
Il est là, je le sais, je suis venue pour lui et je me presse, j’ai hâte, le retrouver intact. Mais avant ça, je fais une halte pour capter cette lumière de fin de journée frôlant sans brutalité le parterre de queues de lièvre qui s’étend devant moi. Comme pour apaiser mon regard avant l’impitoyable déchaînement de l’océan.
on en reparlera 🙂
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Je t’attends dear ! 😉
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c’est magnifique
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Absolument, c’est magnifique, on ne peut que stopper net, lentement ajuster l’appareil photo, plier légèrement les genoux, et se laisser faire… Merci Gibulène, j’espère que tout va bien pour vous, que l’été est doux. A bientôt !
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un peu chaud dans mon Sud Camille, les grands incendies se succèdent et il y a 48h les plus beaux spots photos du coin sont malheureusement partis en fumée 😦 Bonnes fins de vacances
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