Sortie d’hibernation

Chers abonnés, chers amis, chers lecteurs, chers proches, et chers inconnus de passage sur mon blog : bonjour !

Des mois que je n’alimente plus ce blog que de manière épisodique… Oui, je vous délaisse, je reconnais, mais j’ai une bonne excuse, car voyez-vous, je préparais en discrétion la sortie de mon prochain roman qui paraîtra à la rentrée (comme son bandeau l’indique) aux Editions Eyrolles, dans la très jolie collection Aparté.

Un travail de fourmi laborieuse, un travail jubilatoire et riche comme je les aime, accompagné avec rigueur et bienveillance par le staff dynamique de ma nouvelle maison d’édition. J’ai passé des mois à corriger, réécrire, peaufiner, fignoler, douter, reprendre, développer ici, alléger là… Et je suis fière du résultat. Vraiment très fière.

Hier, j’ai trouvé dans ma boîte aux lettres ce premier exemplaire en avant-première, envoyé par une petite fée de chez Eyrolles qui aura soupçonné mon impatience à tenir le bébé physiquement dans mes mains. Et bien-sûr, je ne résiste pas à l’envie de vous faire partager mon immense joie en vous présentant officiellement mon troisième livre publié : La bête en elles.

Le bac en poche, Marie quitte sa province pour prendre un job d’été à Paris. Tous les possibles s’offrent à elle. Elle sera journaliste peut-être comme Olivier, l’ami de son père qui l’héberge avec sa femme pendant son séjour. L’homme se montre froid et distant d’abord. Puis il finit par lui prêter attention et Marie se réjouit de leurs tête-à-tête complices dans son bureau. Leur belle relation pourtant dérape. Quand Olivier s’invite dans sa chambre, elle se débat, mais cela ne suffit pas. Marie est dévastée. Aurait-elle séduit Olivier sans le vouloir ? Alors elle se tait. Elle étouffe sa honte et sa douleur qui font grossir la bête en elle.

Marie n’est pas seule. Elle vit en 2009 ce que d’autres jeunes femmes de 17 ans comme elle ont vécu en un autre temps. Claudine en 1937, Isabelle en 1973 et Amandine en 1990. Traversant les époques, ce roman saisissant nous donne à lire la même histoire : le tragique et l’arbitraire du viol qui vient briser les destins.

J’en profite pour vous glisser une demande officielle : ceux qui me connaissent IRL savent que je ne suis pas tellement une adepte des réseaux sociaux. J’entretiens gentiment ce blog mais c’est bien tout, et encore suis-je toujours à me demander qui donc ça intéresse mes blablas en ligne. Mais le monde est ainsi fait, il a des yeux et des oreilles partout mais si on attend qu’il nous remarque sans lui faire signe… Bref je vous demande d’être des biquets et de bien vouloir relayer la nouvelle de cette prochaine parution à vos contacts, en partageant ce billet (et d’autres, hein, n’hésitez pas !), par mail, par re-post, par re-tweet, sur insta, sur snapchat, sur whatsapp, par télégramme, par pigeon voyageur ou par bon vieux bavardage en terrasse de troquet.

Voilà, je vous remercie tout plein, et je termine par cette injonction qui fera sourire mon papa : surtout tenez-vous fiers !

Camille

8 commentaires sur « Sortie d’hibernation »

    1. Ah oui ça valait le coup, c’est sûr ! Et j’avoue, j’attends avec impatience ce bel été, le retour des spectacles, des randos, des fiestas, des restos, des films, du rien le nez dans le sable, bref de tout ce qui fait la vie et nourrit l’âme. J’ai besoin de me reposer et aussi de me ressourcer avant de démarrer une nouvelle histoire ! …hâte, en vrai… 😉

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